De prime abord, on pourrait penser que les relations entre RSE et intelligence artificielle au sein de l’entreprise peuvent être difficiles Tant elles génèrent de part et d’autre des incompréhensions.

On a de bonnes raisons d’espérer qu’elles pourraient devenir équitables et vivre en harmonie. D’autant plus que RSE et intelligence artificielle sont condamnées à cohabiter. À la seule condition que l’entreprise prenne l’initiative de mettre en œuvre un projet visant à combattre les préjugés lié aux mythe de l’intelligence artificielle.

Le volet social de la RSE, relève en particulier des compétences de la fonction RH, est impacté par l’arrivée en force de l’intelligence artificielle.

Transformation et performance

Les applications de l’intelligence artificielle s’orientent vers de nombreuses activités et fonctions de l’entreprise. Lesquelles sont dotées d’une forte capacité de transformation et de performance. Depuis la production, la supply chain, les fonctions comptables et administratives, jusqu’à la finance ou le marketing, et, last but least, les ressources humaines. L’irrésistible montée en puissance de l’intelligence artificielle semble tout balayer sur son passage.

Bien commun

Ces changements sont à l’origine de la transformation des systèmes de management. Ces innovations, changements, et transformations, posent des interrogations éthiques. Certains considèrent que l’IA et autres technologies représentent un danger. Et d’autre qu’elles sont indispensables pour le bien commun.

Quoi qu’il en soit, force est de constater que les avancées scientifiques et technologiques actuelles ne transforment pas seulement la société, les métiers, l’économie. Mais aussi nos façons de pensée, voire notre perception du monde.

Remettent-elles pour autant en question la notion d’être humain ? RSE et intelligence artificielle peuvent-elles vivre ensemble ?

Comportements intelligents

Selon certaines études les impacts socio-économiques de l’IA doivent être bénéfiques pour l’ensemble de la société et pas seulement pour quelques privilégiés. La recherche en intelligence artificielle doit inclure tout ce qui rend les comportements intelligents, pas uniquement les « aspects les plus raisonnables ».

Risques majeurs

Pour l’UNESCO les risques liés à l’IA sont de trois ordres :

  • Raréfaction du travail. Qui est exécuté par des machines à la place des êtres humains.

L’autonomie de l’être humain et sa liberté ne sont pas nécessairement remises en cause par l’IA. Dès lors que l’on demeure vigilant face aux intrusions dans la vie privée.

L’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture considère que le travail ne risque pas de disparaître, il se transforme de manière parfois radicale, et fait appel à de nouvelles compétences.

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