Winston Leonard Spencer-Churchill est né le 30 novembre 1874 au palais de Blenheim et mort le 24 janvier 1965 à Londres. Il a été Premier Ministre du Royaume-Uni pendant la Seconde Guerre Mondiale et est reconnu pour sa ténacité et ses bons mots.
Voici 16 phrases de Winston Churchill qui raisonnent particulièrement dans la tête des entrepreneurs.

Pour faire les bons choix tactiques : 

Que la stratégie soit belle est un fait, mais n’oubliez pas de regarder le résultat.
Construire peut être le fruit d’un travail long et acharné. Détruire peut être l’oeuvre d’une seule journée.
Il n’y a rien de négatif dans le changement, si c’est dans la bonne direction.
La critique peut être désagréable, mais elle est nécessaire. Elle est comme la douleur pour le corps humain : elle attire l’attention sur ce qui ne va pas.

Pour avoir les bonnes compétences :

Le vrai génie réside dans l’aptitude à évaluer l’incertain, le hasardeux, les informations conflictuelles.
On ne devrait jamais tourner le dos à un danger pour tenter de le fuir. Si vous le faites, vous le multiplierez par deux. Mais si vous l’affrontez rapidement et sans vous dérober, vous le réduirez de moitié.

Pour ne rien lâcher :

Pour s’améliorer, il faut changer. Donc, pour être parfait, il faut changer souvent.
On vit de ce que l’on obtient. On construit sa vie sur ce que l’on donne.
Il ne sert à rien de dire « Nous avons fait de notre mieux ». Il faut réussir à faire ce qui est nécessaire.
Quand survient un malheur, il est tout à fait possible qu’il vous évite un malheur plus terrible encore. Et quand vous commettez une erreur grave, elle peut vous être plus utile que la décision la mieux pesée.
Agissez comme s’il était impossible d’échouer.

Pour garder courage : 

Un pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité. Un optimiste voit l’opportunité dans chaque difficulté.

Le succès est d’avancer d’échec en échec sans perdre l’enthousiasme.
Jamais, jamais, jamais. N’abandonnez jamais.
Là où se trouve une volonté, il existe un chemin.
Conclusion
On considère le chef d’entreprise comme un homme à abattre ou une vache à traire. Peu voient en lui le cheval qui tire le char.
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